Sarah Desrosiers explore les deux espaces de la danse, le studio et la scène, incarnant respectivement la sécurité et la vulnérabilité. Au fil des répétitions, la scène est un espace qui s’apprivoise malgré l’imprévisibilité du lieu. Le récit est celui du rituel de passage du quotidien à l’événement, du studio à la scène.
Notes éditoriales et extraits musicaux utilisés: Bach, Das Wohltemperierte Klavier, Book 1: Prelude & Fugue no. 6 in D minor, BWV 851.